Agenda: Parcours pour le Dimanche 05 octobre

Oct
05
Pour ce dimanche, nous proposons les parcours suivants, vous pouvez telecharger le parcours pour votre GPS via les liens openrunner ci-dessous:
Pour ce weekend, nous proposons egalement les randos club suivantes:
  • 05/10/2025 : ADAMOISE par 07308 – CYCLO CLUB DE L ISLE ADAM
    Adresse: , , 95290 – L’ISLE-ADAM
    Distances: 36.0/56/73/91/113//
  • 05/10/2025 : RALLYE EPI D’OR par 07018 – CYCLO CLUB DE SAINT CYR L ECOLE
    Adresse: , , 78210 – SAINT-CYR-L’ECOLE
    Distances: 50.0/75/90//
  • 05/10/2025 : randonn?e du Confluent par 03286 – ROUE D OR CONFLANAISE
    Adresse: , , 78700 – CONFLANS-SAINTE-H
    Distances: 50.0/74/92/72/72/40/
  • 05/10/2025 : Randonn?e d’Automne par 03540 – AS DRANCEENNE CYCLO
    Adresse: , , 93700 – DRANCY
    Distances: 27.0/47/53/75//
  • 05/10/2025 : Rallye de Villejuif par 05605 – UNION SPORTIVE DE VILLEJUIF
    Adresse: , , 94800 – VILLEJUIF
    Distances: 30.0/45/60/87//
  • 05/10/2025 : COTEAUX ET VALLEES par 00805 – V C B S CHILLY MAZARIN
    Adresse: , , 91380 – CHILLY-MAZARIN
    Distances: 40.0/60/85/50/50/

Agenda: Parcours pour le Dimanche 28 septembre

Sep
28
Pour ce dimanche, nous proposons les parcours suivants, vous pouvez telecharger le parcours pour votre GPS via les liens openrunner ci-dessous:
Pour ce weekend, nous proposons egalement les randos club suivantes:
  • 27/09/2025 : audax des jeunes par 094 – CODEP VAL-DE-MARNE
    Adresse: , , 94450 – LIMEIL-BREVANNES
    Distances: 70.0//
  • 28/09/2025 : LES FOUS …….. GERENT par 04221 – CLUB OMNISPORT D OTHIS
    Adresse: , , 77280 – OTHIS
    Distances: 50.0/100/150//
  • 28/09/2025 : Virade de l?Espoir par 03469 – VELOXYGENE
    Adresse: , , 78470 – SAINT-REMY-LES-CH
    Distances: 40.0/80/110//

Agenda: Parcours pour le Dimanche 21 septembre

Sep
21
Pour ce dimanche, nous proposons les parcours suivants, vous pouvez telecharger le parcours pour votre GPS via les liens openrunner ci-dessous:
Pour ce weekend, nous proposons egalement les randos club suivantes:
  • 20/09/2025 : Voyage Itin?rant au f?minin par 094 – CODEP VAL-DE-MARNE
    Adresse: , , 21000 – DIJON
    Distances: 50.0/80/100/120//
  • 21/09/2025 : ACA P?daler par 05140 – AMICALE CYCLOS ATHEGIENS
    Adresse: , , 91200 – ATHIS-MONS
    Distances: 25.0/63/83/101//
  • 21/09/2025 : Rallye La M?r? Montfort par 06942 – AMICALE CYCLISTE MERE MONTFORT
    Adresse: , , 78490 – MERE
    Distances: 55.0/84/106//
  • 21/09/2025 : LA RANDONNEE DES DEUX TERTRES 2025 par 03432 – ASSOC.CYCLISTE COUDRAYSIENNE
    Adresse: , , 91830 – LE COUDRAY-MONTCE
    Distances: 0.0/35/35/45/55/
  • 21/09/2025 : Le Grand 8 Cellois 2025 par 02862 – LES CHOUCAS CELLOIS
    Adresse: , , 78170 – LA CELLE-SAINT-CL
    Distances: 0.0/65/65/
  • 21/09/2025 : Randonn?es du Grand V 2025 par 03077 – USM VILLEPARISIS
    Adresse: , , 77270 – VILLEPARISIS
    Distances: 50.0/85/110//
  • 21/09/2025 : RANDONNEES DE CHARS par 07187 – ASS. CYCLISTE VALLEE DE LA VIOSNE
    Adresse: , , 95750 – CHARS
    Distances: 37.0/50/70/100//
  • 21/09/2025 : ATIF Challenge Lucien DUPRE par 00742 – UNION SPORTIVE CRETEIL CYCLOT
    Adresse: , , 94000 – CRETEIL
    Distances: 50.0/70/100//

Agenda: Parcours pour le Dimanche 14 septembre

Sep
14
Pour ce dimanche, nous proposons les parcours suivants, vous pouvez telecharger le parcours pour votre GPS via les liens openrunner ci-dessous:
Pour ce weekend, nous proposons egalement les randos club suivantes:
  • 13/09/2025 : Dod?caudax du VCN S02#09 par 04678 – VELO C DE NEUILLY S SEINE
    Adresse: , , 92200 – NEUILLY-SUR-SEINE
    Distances: 200.0//
  • 13/09/2025 : De Selle en Selle par 05109 – U S MAISONS LAFFITTE
    Adresse: , , 78600 – MAISONS-LAFFITTE
    Distances: 160.0//
  • 14/09/2025 : 39eme Rallye du Parc (ROUTE & GRAVEL), Vall?e de Chevreuse par 03635 – V.C. MONTIGNY LE BRETONNEUX
    Adresse: , , 78180 – MONTIGNY-LE-BRETO
    Distances: 12.0/65/85/105//
  • 14/09/2025 : RANDONNEE GABINIENNE par 05621 – U S M GAGNY CYCLOTOURISME
    Adresse: , , 93220 – GAGNY
    Distances: 60.0/90//
  • 14/09/2025 : 3EME RALLYE DU PARC – GRAVEL par 03635 – V.C. MONTIGNY LE BRETONNEUX
    Adresse: , , 78180 – MONTIGNY-LE-BRETO
    Distances: 0.0/75/75/38/
  • 14/09/2025 : RANDONNEE DES PEINTRES par 01852 – UNION SPORTIVE AUVERS OISE
    Adresse: , , 95430 – AUVERS-SUR-OISE
    Distances: 48.0/73/90/110//
  • 14/09/2025 : Randonn?e des pommes de terre Saut?es par 04678 – VELO C DE NEUILLY S SEINE
    Adresse: , , 92200 – NEUILLY-SUR-SEINE
    Distances: 0.0/60/60/80/90/
  • 14/09/2025 : Randonn?e des pommes de terre route par 04678 – VELO C DE NEUILLY S SEINE
    Adresse: , , 92200 – NEUILLY-SUR-SEINE
    Distances: 60.0/80/105/135//
  • 14/09/2025 : LE RALLYE DE LA BIEVRE par 05759 – ASS. CYCLOS GENTILLY
    Adresse: , , 94250 – GENTILLY
    Distances: 30.0/50/90//
  • 14/09/2025 : RANDO DE FERICY par 08003 – AMICALE SPORTIVE FERICY HERICY
    Adresse: , , 77133 – FERICY
    Distances: 30.0/53/70/112//
  • 14/09/2025 : RANDONNEE D’ESBLY par 04256 – AMIS CYCLOS D ESBLY
    Adresse: , , 77450 – ESBLY
    Distances: 54.0/73/93/113//
  • 14/09/2025 : La 77 Rando par 08190 – ASPTT MELUN
    Adresse: , , 77390 – COURQUETAINE
    Distances: 120.0/80/60//
  • 14/09/2025 : La renard’yerres par 07340 – LES RENARDS YERRES
    Adresse: , , 91330 – YERRES
    Distances: 0.0/62/62/

Félicitations aux 323 participant.e.s du Rallye de Sceaux du 7 septembre 2025

Vous avez été très nombreux à participer à notre épreuve ce dimanche !

323 cyclo.te.s au départ sous un temps ensoleillé, parmi lesquels bien sûr la cohorte du CTVS (45), mais aussi ceux de nos clubs partenaires FFCT, citons Meudon (25), Chatenay (21), Montrouge (14) et l’ACP (7), mais aussi l’US IVRY (club FSGT) avec 11 représentants.

Deux parcours Route (61 et 107 kms) réalisés par 284 personnes et un parcours Gravel de 65 kms par 29.

Mention spéciale aux deux benjamins âgés de 10 ans !

Et à l’arrivée, un BBQ festif au local du club qui a récompensé de leurs efforts les participants enthousiastes ou quelques visiteurs, dont Monsieur le Maire de Sceaux.

Une grande réussite – les éditions précédentes ne réunissaient qu’au maximum 150 personnes – expliquée, d’un part par la météo clémente, mais aussi et surtout, par la notoriété croissante du club liée à son dynamisme et à son expertise dans la préparation et l’organisation de telles manifestations (pour rappel la première édition du brevet du deux-cents de Sceaux en avril 2025).

Rendez-vous l’année prochaine à la même période !

Agenda: Parcours pour le Dimanche 07 septembre

Sep
07
Pour ce dimanche, nous proposons les parcours suivants, vous pouvez telecharger le parcours pour votre GPS via les liens openrunner ci-dessous:
Pour ce weekend, nous proposons egalement les randos club suivantes:
  • 07/09/2025 : La Rando d’Eug?ne par 03977 – CYCLO CLUB GOURNAY S MARNE
    Adresse: , , 93460 – GOURNAY-SUR-MARNE
    Distances: 60.0/85/100//
  • 07/09/2025 : LA RANDO DE LA FETE 2025 par 03581 – ASS SPORT PORCHEVILLE
    Adresse: , , 78440 – PORCHEVILLE
    Distances: 32.0/62/90//
  • 07/09/2025 : Randonn?es de la Saint Fiacre par 02738 – CYCLO CLUB CROISSY S SEINE
    Adresse: , , 78290 – CROISSY-SUR-SEINE
    Distances: 15.0/65/90/120/63/63/
  • 07/09/2025 : Randonn?es du Bon Saint Arnoult (BSA) par 04248 – US ST ARNOULT CYCLOTOURISME
    Adresse: , , 78730 – SAINT-ARNOULT-EN-
    Distances: 95.0/75/50/80/80/60/
  • 07/09/2025 : LA RANDONNEE DES CINQ FORETS par 02316 – UNION CYCLO DOMONTOISE
    Adresse: , , 95330 – DOMONT
    Distances: 40.0/60/85//
  • 07/09/2025 : Rallye de Sceaux – Souvenir G?rard Genest par 03123 – CYCLOT DE LA VILLE DE SCEAUX
    Adresse: , , 92330 – SCEAUX
    Distances: 61.0/107/65/65/
  • 07/09/2025 : Balade Campinoise par 06470 – RED.STAR.CLUB CHAMPIGNY
    Adresse: , , 94500 – CHAMPIGNY-SUR-MAR
    Distances: 34.0/64/84/101//

Diagonale Perpignan-Brest B Affres P Barth S Laverdure du 30/06 au 03/07/2025

Rédacteurs : Bertrand Affres (Préambule, étapes 1 et 4) et Pierre Barth (étapes 2 et 3).

Titre : Soleil, soleil

Rédacteur préambule : Bertrand

Nous avions programmé depuis plusieurs années, avec Jean Perruchot, la flèche de France Paris-Perpignan. Sylvie se joignant à nous, j’avais alors envisagé de poursuivre le périple en incluant notre diagonale annuelle : en l’espèce, ce serait Perpignan-Brest, le chemin vers Strasbourg ayant déjà été effectué en 2022, et celui vers Dunkerque étant trop long et escarpé. Compte-tenu des impératifs de chacun, le départ a été fixé au 25 juin. Pierre, intéressé par la seule diagonale (il a déjà accompli deux cycles complets de flèches de France), doit nous rejoindre à Perpignan le dimanche 29 juin, et donner une housse à vélo à Jean qui n’effectuera pas la diagonale et « remontera » en train sur Paris. En fait, la flèche a été rendue plus difficile que prévu, avec une grosse chaleur dès la longue (270 km) première étape, entraînant l’abandon de Jean. Les quatre autres étapes (de 221, 172, 158 et 161 km) s’avèreront également difficiles du fait du parcours montagneux, et de la canicule le dernier jour (jusqu’à 46° au compteur !). Enfin, le dimanche soir, on rejoint Pierre, qui avait néanmoins eu des problèmes avec son dernier TER, mais avait fini par débarquer à Collioure et avait grimpé quelques cols dans les Albères. On dîne dans un des très rares restaurants ouvert dans le centre de Perpignan, une pizzéria un peu éloignée de notre hôtel, le « Paris-Barcelone », situé en face de la gare et toujours recommandé, à juste titre (et plus encore depuis sa rénovation il y a deux ans), sur le site historique de l’ADF (bien réactivé depuis peu).

1ère étape : 30 juin 2025 Perpignan – Grisolles : 232,9 km à 20,8 km/h de moyenne roulée – dénivelé positif : 1495m – température min 21° max 42° moyenne : 33°, pause 3h02.

Rédacteur : Bertrand

Après un bon petit-déjeuner à l’hôtel, grâce à la présence d’une gardienne de nuit et d’une machine à café, nous démarrons la diagonale le lundi à 5h30. Nous n’avons pas eu de difficultés à l’Hôtel de Police pour le pointage de nos carnets de route et, après le SMS adressé par Pierre à Bernard, nous partons dans la nuit chaude vers l’ouest, puis le nord-ouest, quittant les faubourgs de Perpignan pour franchir le fleuve Têt, puis, par un raccourci, aborder le petit col de la Dona à Pézilla-la-Rivière. Il fait désormais jour et pas encore trop chaud : on supporte nos chasubles dans la montée. On les ôtera plus loin, après la descente sur Estagel. Comme prévu, Pierre mène sur la D117. Malgré l’aspiration, je décroche dès lors que ça grimpe au-dessus de 4-5%, comme c’est le cas avant Saint-Paul-de-Fenouillet. Du coup, je provoque le premier (mais pas le dernier) épisode chronophage : ayant perdu de vue mes compagnons, qui ont poursuivi vers une boulangerie sur la route, j’oblique vers le centre et m’arrête à un bar, d’où je les appelle ! On y prend cafés et « Perrier » (pour Pierre), et on effectue déjà un plein d’eau ! Mais les 20 minutes d’arrêt prévues sont dépassées. Heureusement, jusqu’à l’arrêt suivant, Limoux, du 17km/h est programmé et heureusement dépassé, malgré les 6 km de parfois rude montée vers le col Saint-Louis (FR 11-0696). On avait opté pour ce col inédit pour nous : Pierre avait déjà passé, dans ses précédentes diagonales, le col Campérié, ainsi que ceux de la route des gorges de Galamus (prise également par Sylvie et moi lors de BP 2023). Sylvie et Pierre m’attendent quelques minutes au col, point culminant de la diagonale, puis je reste à une centaine de mètres derrière eux dans la descente, et ils filent sans entendre mes cris lorsque je crève à l’avant dans un virage. Je répare assez vite, changeant de chambre à air et apposant une rustine autocollante à l’intérieur du pneu, usé latéralement par un mauvais positionnement d’un patin de frein, qui a sans doute bougé lors d’une séance de bricolage (suppression du garde-boue cassé) effectuée sur la seconde étape de la flèche ! J’arrête une des très rares auto descendant le col pour demander au conducteur de dire à mes compagnons que tout va bien et que je repars bientôt ! En fait, Pierre avait fait demi-tour et avait déjà bien remonté le col. Sylvie attendait à l’ombre sur la D118, qu’on rejoint après Quillan. On passe Couiza et on avance allègrement sur les faux plats descendants de la vallée de l’Aude, et on est vite à Limoux où on retrouve la supérette du centre-ville, où on avait déjà fait nos emplettes lors de BP de mai 2023. Il est 11 heures, on a donc encore une vingtaine de minutes d’avance. Cependant, le temps de faire des emplettes, de chercher un endroit ombragé pour pique-niquer, et de prendre un café sur la terrasse du bar (où nous n’oublions pas le pointage de nos carnets de route !) situé en face, sur la place où nous étions, et il est déjà plus de midi lorsque nous repartons, avec cette fois une bonne dizaine de minutes de retard sur le planning ! On se dit qu’on les regagnera en escamotant la pause de 30 mn prévue pour déjeuner 25 km plus loin, à Villasavary, puisqu’on vient justement de déjeuner ! En fait, comme on le pressent, on aborde la partie la plus pénible de l’étape, avec un soleil au zénith, une température montant jusqu’à 42° à nos compteurs et, sur la route entre la vallée de d’Aude et le canal du Midi, une succession de bosses plus ou moins longues, mais toujours peu ombragées ! On est évidemment en deçà des moyennes roulées prévues (19, puis 20) et, surtout, on s’arrête régulièrement, 5 à 10 minutes à chaque fois, sous les arbres, pour ne pas trop être en « surchauffe ». Notre entourage, à Pierre et moi, notamment nos conjointes, nous avait d’ailleurs invités à renoncer à cette diagonale, compte-tenu de l’alerte canicule diffusée par les pouvoirs publics. Mais ce n’est pas la première fois que nous roulons sous la chaleur, qu’il convient de « gérer » au mieux. Après avoir croisé, à Prouille-Monastère, la route naguère empruntée sur HM et MH (heureusement qu’on ne grimpe pas aujourd’hui la côte de Fanjeaux : on aperçoit le village tout en haut !), on quitte avant Villasavary la D623, pour rejoindre par des routes communales, la D218, qui nous évite de passer par Castelnaudary. Une fontaine avec robinet d’eau est détectée dans un des villages traversés, ce qui amène évidemment un nouvel arrêt pour boire, pour changer l’eau chaude de nos bidons pour de l’eau qui restera fraiche durant cinq minutes, et pour tremper casquette et gants, qui sècheront vite ! Cette opération est renouvelée à chaque point d’eau, notamment à Avignonet-Lauragais, puis à côté de toilettes nauséabondes, le long du canal du Midi. En effet, après ce dernier village, on a rejoint la fameuse piste du canal, qui a deux gros avantages : éviter la circulation routière et, surtout aujourd’hui, offrir une fraîcheur relative : 36-37° seulement. Il y a cependant quelques inconvénients : la monotonie de certains tronçons, en particulier au nord de Toulouse, un revêtement inégal, favorisant les crevaisons (voir demain…) et limitant la moyenne roulée, et, enfin, le ralentissement et le danger provoqués par d’autres usagers. Ce sera le cas dans la longue traversée de Toulouse, où la piste est même souvent dangereuse, par exemple lors des passages sous les ponts, avec des virages serrés, juste au-dessus du canal ! Sylvie est assez stressée par cette traversée d’agglomération et les slaloms entre cyclistes à vitesses fort diverses, coureurs à pied et piétons ! Les GPS de mes compagnons sont très utiles lors de cette séquence, notamment pour retrouver le départ du tronçon nord de la piste. Il est presque 19 heures lorsqu’on l’aborde, avec une petite heure de retard sur les prévisions. Il ne reste que 23 km à couvrir. J’avais contacté notre hôtel, dans l’après-midi, pour aviser de notre progression, mais l’information n’a pas dû être transmise, car je reçois déjà un appel de la patronne, s’inquiétant de notre heure d’arrivée, le service cessant à 20h15 – 20h30. Le parcours étant bien plat, et même descendant aux écluses, et la température un peu en baisse, ce devrait être sans problème, sauf que, du côté de Castelnau, à une dizaine de bornes du but, on s’engage sur une structure métallique de déviation de la piste cyclable, et on doit chercher durant quelques minutes le moyen de revenir sur la piste ! Néanmoins, vers 20h10, on est à l’hôtel. Nos vélos sont placés dans un garage en sous-sol (en attendant de négocier leur déménagement dans notre vaste chambre, car là encore, la circulation de l’information est perfectible : j’avais évidemment précisé, lors de la réservation, que je fais systématiquement par téléphone, qu’on repartait aux aurores, mais notre hôte « tombe des nues » !), et nous sommes vite à table, Pierre ayant même le temps de prendre une douche « expresse » ! Nous n’oublions pas le pointage de nos carnets ! Le dîner sera bon et copieux. Nous aurons accès, vers 3h30, à la salle des buffets du petit-déjeuner, lui aussi copieux. Cet hôtel, le « relais des garrigues », à Grisolles, sur la D820 (ex RN20), d’un bon rapport qualité/prix, est donc à recommander lui-aussi ! 

2ème étape : 1 juillet 2025 Grisolles – Barbezieux Saint Hilaire : 275,8 km à 20,4 km/h de moyenne roulée – D+ : 1340 m – température min 20° max 43° moyenne : 29°, pause 4h53.

Rédacteur : Pierre

Nous avons avancé l’heure du départ de quinze minutes à cause de la canicule annoncée et nous nous élançons dans la nuit noire. Pas de lune pour nous accompagner. Le terrain est plat et nous progressons bien jusqu’à La Vitarelle, près du Montech. Là, une bosse sérieuse nous ralentit. Bien vite le rythme est repris et à Valence d’Agen c’est la pause petit-déjeuner dans une rue où boulangerie et café se côtoient. A partir de maintenant, le jour levé, nous empruntons le canal latéral à la Garonne. La piste est bonne mais monotone. On ne croise personne, pas d’animaux sur le canal et très vite nous ressentons une lassitude. Bertrand propose de reprendre la D813 parallèle. La circulation s’intensifie à l’approche d’Agen mais permet de nous tenir éveillés. Dans les faubourgs de la ville, nous essayons de reprendre le canal mais la route d’accès est en travaux et nous perdons du temps à tourner autour de bâtiments commerciaux à trouver un autre accès et subitement Sylvie chute dans les graviers et s’écorche bien le genou gauche. Après examen de la plaie, qui saignote lentement, nous repartons et traversons Agen avec l’intention de reprendre la canal près du pont canal. Là, le sariste Serge Polloni, président du CODEP du Lot-et-Garonne, nous attend sur un banc. Nous devisons de nos aventures matinales et il nous accompagne sur plusieurs kilomètres proposant à Sylvie de panser sa plaie au passage chez lui. Mais finalement, comme nous ne sommes pas en avance et que le saignement s’est arrêté nous poursuivons notre route. Je reçois un message de Bernard Ducornetz nous prévenant de son désir de nous rencontrer sur le chemin du canal. Pause pointage, courses et pique-nique à Buzet-sur-Baïse et nous prenons une première partie de notre repas de midi. En effet suite au coup de chaud d’hier après-midi, la digestion a été assez difficile et nous avons préféré moins charger nos estomacs ou en deux fois. La piste le long du canal est bonne, pas trop de branches, ni feuilles, encore trop de racines dépassent à notre goût, mais ombragée. La « fraicheur » est là, 27°, pas plus, ça facilite la progression. Un excès d’optimisme et soudain, une crevaison à l’arrière chez Bertrand. Sylvie, ayant accusé le plus le coup la veille après Limoux, nous propose de poursuivre tranquillement afin de mieux appréhender l’après-midi qui sera chaude. Hier le parcours de l’étape nous a permis de finir sur le canal du Midi et ainsi après le gros coup de chaud passer à l’ombre sous les platanes. Mais aujourd’hui, nous redoutons tous les trois l’après-midi qui se fera sans ombre avec beaucoup de bosses et une température annoncée au-dessus de 40° ! La réparation est longue et nous repartons avec un déficit horaire augmenté. Un peu après, nous croisons Bernard Ducornetz. Lors des discutions engagées avec notre sariste, un problème technique survient sur son vélo. Normalement le sariste nous accompagne et peut aussi nous assister dans nos casses mécaniques, mais là c’est l’inverse. Nous sortons nos outils afin de porter assistance au pédalier qui ne tourne plus rond. La pédale droite semble ne plus tenir. Après trois arrêts et de chères minutes perdues, Bernard nous laisse poursuivre et nous essayons de rattraper Sylvie qui se rapproche de La Réole. A peine sortis de la piste cyclable que déjà la chaleur s’abat sur nous. Nous peinons à trouver un estaminet à La Réole et pris par le temps, nous nous installons sur une place à l’ombre avec des bancs et un robinet d’eau pas trop loin. C’est le moment du deuxième repas de midi. Ensuite, le plein des bidons fait, nous quittons le bourg où Sylvie rechute sans gravité, presque à l’arrêt dans une manœuvre délicate de démarrage en côte. Un passant l’aide à se relever et nous remontons plein Nord vers Barbezieux, un léger vent dans le dos, mais avec des températures au soleil de plus de 40° (max 43°). A Sauveterre-de-Guyenne, Bertrand hésite à regonfler son pneu arrière à la station-service à l’entrée de la ville. C’est bien dommage car lors de la traversée d’une zone de travaux, c’est la deuxième crevaison qui s’avèrera être un pincement. Pendant la réparation à la hauteur d’un garage réalisant des contrôles techniques, j’ahane, je halète, tel le chien la langue pendante, je reste à l’ombre et reprends mes esprits. Je crois que c’est à mon tour d’avoir pris un coup de chaud. Je ne suis pas originaire des pays du Sud, aussi dès que le thermomètre s’emballe, mon métabolisme passe en mode survie. Impossible de faire un effort. Bertrand répare courageusement, Sylvie subit mais résiste et le garagiste nous aide à regonfler la roue avec son compresseur. Il nous propose même de l’eau en bouteille car celle de ses sanitaires est trop chaude. Je reçois un message de Bernard Ducornetz : sa pédale a fini par tomber, il a fait 15km avec une jambe jusqu’à la gare de la Réole où il a pris le train pour rentrer chez lui ! En repartant, Sylvie a une bonne idée : si nous trouvions un hôtel pour nous reposer l’après-midi et plutôt rouler de nuit ? Mais d’hôtel, nous n’en trouvons pas sur notre route et de chambre d’hôtes non plus. Une adresse indiquée sur le web s’avère imprécise et nous force à un arrêt supplémentaire à l’ombre dans le vent. Vent qu’il aurait mieux valu avoir de face comme hier, il nous aurait ventilés. A chaque pause le même processus : boire d’abord en soufflant, laisser le corps perdre la pression, puis s’alimenter doucement de fruits secs salés et de gâteaux. Mais le compteur horaire tourne. Nous nous arrêtons presque toutes les heures et pendant une bonne demi-heure ! Nous avions déjà beaucoup de retard, là avec toutes ces pauses supplémentaires, nous calculons une arrivée bien après 22h. Il n’y aura plus d’accueil à l’hôtel prévu, ni de repas, et il fera nuit. Nous perdons encore un temps précieux au contrôle de Coutras pour organiser la réception des clés. Mais ce dernier contrôle m’a surtout permis de me remettre un peu et d’engager la dernière partie un peu plus sereinement. Et nous avons aussi pu faire quelques achats pour notre « dîner » à l’arrivée de l’étape qui semble s’annoncer tardive. La route par Boresse et Martron est ombragée et, en fin d’après-midi, la température descend très, très doucement, trop doucement. Avant la nuit, encore une pause, chasubles et éclairages, et direction Barbezieux où nous peinons à trouver notre chambre et à nous installer. Il est 23h lorsque le cycle des douches commence. Notre repas est frugal : les 2 boîtes de maquereau vin blanc achetés à Coutras. Un délice, la chambre embaume du fumet du poisson. La bonne humeur revient, la situation est tout de même cocasse. A minuit extinction des feux, réveil à 3h pour un départ à 4h.

3ème étape : 2 juillet 2025 Barbezieux Saint Hilaire – Trignac : 303,1 km à 19,3 km/h de moyenne roulée – D+ : 1597 m – température min 23° max 35° moyenne : 23°, pause 3h52.

Rédacteur : Pierre

Petit déjeuner, aussi frugal, sorti des sacoches et c’est le départ dans la nuit noire. La trace direction Cognac nous fait emprunter la D38 et nous fait gagner 2 km sur la D731. Mais aucun marquage au sol, ni de village à traverser. Au lever du jour, à Cognac, une première boulangerie nous tend les bras. Puis une deuxième à Saint-Jean-d’Angély, le premier contrôle de la journée. Notre progression n’est pas bonne. Nous sommes en retard sur le programme. Sylvie se rend compte que ses problèmes de dérailleur arrière semblent s’aggraver. Et finalement elle découvre au toucher que le câble est entrain de s’effilocher. Certainement la chute d’hier matin à Agen a provoqué la cassure de quelques brins du câble. Nouvel arrêt pour rechercher un vélociste dans la région de Surgères. Petit détour par la zone industrielle et nous finissons chez le seul ouvert ce mercredi matin : un réparateur de vélo ancien. Après retrait de la housse du dérailleur, nous arrivons à apercevoir inéluctable : le câble est sur le point de se casser. Malheureusement pour nous, le vélociste ne répare pas du matériel Campagnolo, donc pas de câble de rechange. Il nous en donne bien un, mais c’est pour un dérailleur Shimano. Nous ne prenons pas le risque de l’essayer. Sylvie évite d’utiliser son dérailleur arrière et utilise son plateau avant. Elle continue l’aventure avec deux vitesses. Ce qui est faisable puisque pour le moment la route n’est pas très accidentée. Avec la déviation de 3 kilomètres pour atteindre le réparateur puis 2 pour rejoindre notre itinéraire, plus la recherche de panne, nous avons encore perdu beaucoup de temps. A présent, nous décidons que si un vélociste se présente sur notre route nous nous arrêterons, mais plus de détour. Nous avions prévu la pause à Luçon, mais avec notre retard, cela se fera avant, à Marans, où nous trouvons un grand supermarché dans lequel chacun va se perdre pour trouver de quoi se sustenter. Le grand défaut de ces grands magasins, c’est la perte de temps et dans ces déambulations souvent nous ne trouvons rien ! Mais la D105 est barrée et la déviation que nous optons passe dans cette zone commerciale. Avec nos courses faites, on s’installe plus loin le long de la Sèvre-Niortaise pour pique-niquer. Sylvie est fatiguée et présente depuis quelques jours une tendance à pencher à droite sur son vélo. Ce déséquilibre la contrarie et la force à faire beaucoup d’effort pour rester alignée avec notre progression. Elle perd en souplesse de conduite et le fait de n’avoir que 2 vitesses n’arrange rien. Au contrôle de La Roche-sur-Yon, nous trouvons une boulangerie qui nous restaure bien, car nous allons arriver encore tardivement à l’étape du soir et encore de nuit. Le profil de la suite du parcours est moins facile. Après quelques pauses supplémentaires, achats, repos, chasubles et éclairages, nous traversons Saint Brévin-les-Pins où il subsiste un peu d’animation dans les rues. A l’approche du pont de Saint-Nazaire, ou pont du Mindin, un sanglier court à côté de moi et s’en va dans les buissons avant que mes compagnons ne me rejoignent. Que d’émotion ! C’est maintenant le pont qui va nous en donner. La piste cyclable est bien marquée sur le côté de la chaussée et les joints de dilatations du pont sont recouverts d’une plaque de métal, ce qui évite ainsi aux roues du vélo de s’y enfoncer et le cycliste de chuter. Une fois de l’autre côté de la Loire, nous nous regroupons et continuons par un interminable dédale sans éclairage urbain au travers de Trignac jusqu’à notre hôtel. Tous les commerces sont fermés mais nous prendrons une photo devant l’hôtel pour prouver notre passage. Après la récupération de notre code d’entrée de la chambre, il est 23h45 lorsque nous nous posons enfin. Repas encore plus frugal que la veille, douche et au lit. Ce n’est pas cette nuit que nous allons récupérer grand-chose de notre forme.

4ème étape : 3 juillet 2025 Trignac – Brest : 272,1 km à 18,4 km/h de moyenne roulée – D+ : 2589 m – température min 11° max 32° moyenne : 19°, pause 3h14.

Rédacteur : Bertrand

Il est en effet 3 heures lorsque nous nous levons. Avec un code, récupéré difficilement hier soir par Pierre qui, malgré la fatigue, a pu résoudre le problème de réservation à ce « B and B », on peut entrer dans le hall pour boire un café tiré d’un distributeur, en mangeant divers biscuits « tirés du sac ». On descend les vélos du second étage, et c’est reparti à l’heure prévue : 4h ! Pierre nous guide sur un parcours aussi labyrinthique qu’hier soir, afin de sortir de l’agglomération de Saint-Nazaire. Dans la nuit, on réussit, dans la platitude de la Brière, à maintenir la moyenne prévue. J’ai reçu un SMS de Dominique Pelletreau, nouveau sariste breton. On avait déjà correspondu hier, mais vu notre arrivée tardive au pont du Mindin, il n’avait pas pu nous y attendre ! Maintenant, il s’est placé à un autre passage obligé, le pont après La Roche-Bernard, où on arrive vers 5h50, avec quelques minutes de retard. Dominique est en cuissard et maillot court, malgré une température qu’on juge très fraiche (11-12°). On lui fait signer nos carnets de route. Il nous suit jusqu’à Elven, sur 36 km, où on a prévu une pause-café de 30 mn, puis, avant notre départ, il nous prend en photo, laquelle sera placée sur le site de l’ADF. S’ensuivent 50 kilomètres très difficiles, sur des routes parsemées de côtes, notamment dans le contournement de Plumelec. Très fatigué par les huit jours précédents et le manque de sommeil, je me traîne dans ces bosses. Sylvie les monte elle-aussi de plus en plus difficilement avec ses deux vitesses. Plus grave, sa tendance, déjà contrariante hier, de pencher sur la droite, s’amplifie. Le risque d’une nouvelle chute est évident. Il s’agit du phénomène dit « de la tour de Pise », bien connu des cyclos adeptes de la longue distance, avec des exemples célèbres : Jean sur PBP, Jean-Claude C. sur un BRM de 1000, Alain C sur plusieurs épreuves, et même l’ami Bernard, notre second sariste d’avant-hier. L’abandon est hélas quasiment obligé dans ce genre de situation, d’autant que le problème du câble de dérailleur amplifie les difficultés. C’est ce que décide Sylvie à notre arrêt contrôle/repas de Saint-Nicolas des Eaux, village très touristique de la vallée du Blavet. La responsable de l’office du tourisme décale aimablement son horaire de fermeture (13h) pour rechercher un moyen de « rapatriement ». Ce sera finalement en taxi que Sylvie rejoindra Brest. On repart, Pierre et moi, vers 13h20, avec 2h20 de retard sur l’horaire prévu, très tristes que Sylvie, après 1900 km depuis Paris, doive abandonner à 150 km du but et ne pas valider une 11eme diagonale. On se relaie assez bien, au début, mais, après Guémené-sur-Scorff, les côtes longues et difficiles viennent casser ce bon rythme. On « tourne » à 17-18 km/h de moyenne roulée au lieu des 19 ou 20 prévus. Heureusement, on avance à nouveau mieux après Rostrenen, sur les routes empruntées sur PBP, un peu plus roulantes dans ce secteur, et, surtout, il nous restait 1h20 de temps de pause, en trois arrêts programmés, qu’on parviendra à supprimer ou à limiter, gagnant ainsi une bonne heure de marge. Ce ne sera pas inutile : passablement fatigué, je retarde notre progression dans les côtes entre Carhaix et le Roc-Trevezel. Heureusement aussi que la température reste idéale et que le vent du NNE a tourné au NEE ! A Sizun, la boulangerie où on pointe habituellement nos cartes, est fermée à cette heure ! Je vais à l’« hôtel des Voyageurs », où j’ai dormi lors des PBP 2019 (seul) et 2023 (avec Jean et Sylvie), où le patron appose son tampon, en évoquant les PBP ! Il nous reste 37 km et une petite marge de sécurité reconstituée… mais bientôt entamée, car je crève une seconde fois à l’avant, du fait d’un silex. Pas le temps de se lancer dans la recherche de son éventuelle présence dans le pneu (neuf, comme l’arrière… il y a 2000 km !) : avec l’aide de Pierre, je mets le pneu de rechange et on a vite réparé (pas besoin de vider le chargement des sacoches arrière cette fois !). On prend l’ancienne route de PBP (des éditions 1995 à 2019) par Loperhet et le fameux pont Albert Loupe. Il y a moins de joie aujourd’hui qu’il y a treize ans, lorsque nous étions arrivés de Menton, avec Sylvie et Pierre. La montée sur Brest me semble interminable. Enfin, c’est l’hôtel de police : il est presque 22h, même s’il fait bien jour si loin vers l’ouest une semaine après le solstice. On n’avait plus qu’une trentaine de minutes de marge avant l’expiration des délais. On retrouve Sylvie, arrivée depuis longtemps à l’hôtel Saint-Louis, à proximité du commissariat. Elle nous a attendus pour aller dîner derrière l’hôtel, dans un des rares établissements encore ouvert ce jeudi soir, un restaurant indien (« le Tripura »), qui nous sert des plats de bonne facture.

En conclusion, la fatigue de la flèche, pour Sylvie et moi, la canicule des deux premiers jours, les problèmes mécaniques de Sylvie et ses chutes, conduisant à ses difficultés d’équilibre et à son abandon, ont gâché une diagonale pourtant agréable par la diversité des paysages et les rencontres d’amis saristes.

Agenda: Parcours pour le Dimanche 31 août

Aug
31
Pour ce dimanche, nous proposons les parcours suivants, vous pouvez telecharger le parcours pour votre GPS via les liens openrunner ci-dessous:
Pour ce weekend, nous proposons egalement les randos club suivantes:
  • 31/08/2025 : LA JACQUES DAGUERRE par 04274 – A C SPORT CORMEILLAIS
    Adresse: , , 95240 – CORMEILLES-EN-PAR
    Distances: 43.0/61/84/102//
  • 31/08/2025 : LA JACQUES DAGUERRE par 04274 – A C SPORT CORMEILLAIS
    Adresse: , , 95430 – AUVERS-SUR-OISE
    Distances: 34.0/53/75/94//
  • 31/08/2025 : LA MOSENIENNE par 07562 – UV 77 MOISENAY
    Adresse: , , 77950 – MOISENAY
    Distances: 15.0/30/70/90/130//